Exposition

Les œuvres (…) de Dominique Morel proposent une notion de la sculpture comme acte dynamique ouvert à des dialectiques complexes tournant souvent autour du rapport surface/espace ou des notions d' intérieur/extérieur. Source : "Porte entrouverte sur les arts visuels à Hochelaga-Maisoneuve, Premier volet : Structure. Hedwidge Asselin, conservatrice.

L'invention des singuliers FRUITS ET NOYAUX de Dominique Morel procède d'un intérêt pour les plantes, mais plus profondément, témoigne avant tout d'un questionnement sur l'identité sexuelle.

Un anniversaire comme prétexte à la fiction. Une célébration du réel trafiqué, de l’allégorie paysagiste, de l’autofiction et de la mise en scène. Afin de souligner sa dixième année d’activités, la galerie Art Mûr rassemble les oeuvres de 26 artistes canadiens sélectionnés pour leur production actuelle d’images dont les réalités s’avèrent soigneusement détournées.

Dominique Morel construit une œuvre qui échappe volontairement à toute volonté de définition autour d'une ou de plusieurs idées fortes. Il s'agit d'un travail riche dont les centres multiples trouvent de nouvelles perspectives. C’est une œuvre ouverte et active. (réf. :  Vie des arts, #197, Hedwidge Asselin)

S'il-vous-plaît ne pas toucher...On aimerait bien transgresser cette intimation...Toutes les oeuvres de Dominique Morel exercet cette fascination : on voudrai s'en emparer mais leur fragilité les rend inaptes à des manipulations multiples.

“Les oeuvres de Dominique Morel sont dotées d’une sensualité, qui tient a la générosité de la matière dont elles sont faites et à la liberté de la présentation qu’en donne l’artiste. Voilà pourquoi elles constituent une invitation a la rencontre et au dialogue entre l’esprit et l’âme et entre les spectateurs.“ Soucre :  Vie des arts, #197, Hedwidge Asselin.

La mise en valeur et le développement de la collection nationale est au cœur du mandat du Musée du Québec. Cette collection reflète les grands courants artistiques de la production historique au Québec autant que ceux de la pratique actuelle. L'une des particularités de l'exposition La Nature des choses est de faire cohabiter des œuvres de ces grands courants qui posent un regard sur un genre «traditionnel » : la nature morte.

Des rapports inextricables lient les textiles et l'espace. Dessous les plis et le replis, les connections foisonnent. À toucher de l'oeil,  à voir de la main, les sens abondent et s'entrecroisent.